Comment avez-vous préparé cette entrée dans la nouvelle année ?
- Comme les autres années. On a prévu de faire un repas au pavillon central suivi d'une soirée dansante avec les personnes hébergées restées au centre. Sachant que l'on s'attend à ce que les résidents
- des femmes avec enfants, des hommes seuls, toxicomanes ou non - cherchent, plus que d'habitude, à marquer le coup en passant cette nuit en famille ou avec des amis, à l'extérieur du centre. D'autant qu'à cette occasion, les transports collectifs sont gratuits dans la capitale et que de nombreuses animations y sont organisées.
Le passage à l'an 2000 est-il vécu avec une émotion particulière par les résidents ?
- Non, l'ambiance est la même
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