C'est à un changement culturel que Paulette Guinchard-Kunstler invite, rappelant au passage quelques vérités. Primo, malgré les promesses, la prise en charge des personnes âgées en perte d'autonomie n'a jamais été une priorité des décideurs publics elle relèverait même davantage de la « non-décision ». Secundo, la notion de dépendance, assimilée à l'incapacité et à une charge financière, ne fait que conforter l'image négative de la société sur ce temps crépusculaire de l'existence, « associé à une période de fragilité psychique, psychologique et sociale ». Or, s'il est une dimension à intégrer dans les politiques en faveur des personnes âgées, c'est, à côté de l'approche médicale réparatric
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