Situés au fond d'une cour du XIVe arrondissement de Paris, au deuxième étage d'un escalier au tapis rouge élimé, les bureaux sont petits et vétustes. Les moyens en personnels réduits au strict minimum avec, en tout et pour tout, une secrétaire... D'autres que Patrick Doutreligne pourraient se sentir relégués au poste de secrétaire général du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées qu'il occupe depuis mars dernier (1). Surtout, après la folle pression des 21 mois vécus au cabinet de Louis Besson. « C'est sûr, quand on passe de 70 heures par semaine à 50 heures, on a l'impression de vivre au ralenti ! », ironise-t-il avec un sourire. Qu'on se le tienne pour dit, l'ancien conseiller technique du secrétaire d'Etat au logement n'a pas l'intention de se laisser
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?