Quel bilan tirez-vous de ces dix années ? - Il est globalement positif dans la mesure où, sans aucun soutien financier, le réseau a réussi, grâce à la motivation de bénévoles, à tenir des réunions régulières et à produire des recherches qui ont été publiées. Alors que nous étions partis avec l'envie de créer un espace afin d'élaborer, de confronter les problématiques du travail social, et aussi d'échanger des informations sur les articles, les thèses, les ouvrages, les colloques sur la question, nous rassemblons aujourd'hui plus de 200 personnes (historiens, sociologues, travailleurs sociaux en activité ou à la retraite...). Nous avons également noué des partenariats avec d'autres associations d'histoire, ce qui nous permet de connaître les recherches des uns et des autres et, le cas échéant, de travailler ensemble. En dépit de ces rés
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