« Avant le dispositif de socialisation et d'apprentissage [DSA] , beaucoup de jeunes complètement déstructurés restaient sur les bras de l'éducateur et surtout'zonaient" dans leur quartier, ce qui les amenait à perturber la vie sociale. » Pour Jean-Jacques Penaud, président du tribunal pour enfants de Lyon, l'utilité de ce dispositif ne fait aucun doute (1). Alors que le Conseil de sécurité intérieure du 27 janvier a accéléré le plan de développement des classes-relais (2), la formule imaginée à Villeurbanne illustre bien l'intérêt et l'originalité de la démarche mais aussi sa complexité.
S'appuyant sur les réflexions de deux groupes de travail réunissant enseignants d'une part et service social scolaire, magistrats, PJJ et chefs d'établissements de l'autre, l'inspection académique du Rhône décidai
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