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Aider ceux qui ont à regarder la mort en face

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Confrontés à des fins de vie nombreuses et fréquentes, en institution ou à domicile, les soignants, agents des services hospitaliers, aides-ménagères et bénévoles d'accompagnement souffrent, plus ou moins consciemment.

Les différents partenaires engagés dans une relation à celui qui va mourir ne peuvent faire l'économie d'un travail de deuil. C'est à ces deuils des accompagnants que l'association Vivre son deuil a récemment consacré deux journées de réflexion (1). « Il y a bien sûr une différence entre le deuil des accompagnants naturels du malade - famille et proches -et nos deuils propres », souligne Chantal Bertheloot, coordinatrice au centre de soins palliatifs extra-hospitalier La Maison, à Gardanne (Bouches-du-Rhône). Néanmoins chercher à « éviter la confusion entre ce que vit l'entourage des personnes accueillies et notre rôle » ne signifie pas que les professionnels de Gardanne ne souffrent pas. Une souffrance peut-être encore accentuée par le fait d'être souvent mis en présence de malades du sida - et aussi, aujourd'hui, de cancéreux jeunes - « c'est-à-dire de gens de la même gén

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