Nul doute que ces équipements de proximité, gérés à 70 % par des associations (et à 16 % et 13 % respectivement par des CAF et des municipalités) et traditionnellement identifiés comme des lieux d'animation sociale, éducative ou culturelle, sont particulièrement immergés dans la vie quotidienne des habitants des cités d'habitat social urbain (87 % sont implantés en ville) et en milieu rural. Et de fait, comme le montre d'ailleurs leur forte croissance (près de 500 agréés par la CNAF depuis 1986), ils catalysent « les tensions engendrées par les situations de précarité ». C'est
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?