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Arcat sida pointe les limites du mi-temps thérapeutique

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« C'est parce que les traitements antirétroviraux suscitent de nombreux espoirs chez les personnes affectées par le VIH, que se pose de manière urgente aujourd'hui la question de leur retour à l'emploi et de son accompagnement », ont rappelé, le 17 février, les responsables d'Arcat sida (1). Face aux peurs et aux difficultés persistantes (2), le docteur Kemal Cherabi, directeur-adjoint de l'association, juge indispensable de poursuivre le travail de sensibilisation des entreprises (sessions de formation, conseils aux médecins du travail et aux directeurs des ressources humaines), et d'accompagnement des personnes malades ou séropositives. L'objectif étant, pour 1998, de toucher davantage les PME-PMI plus réticentes à la mise en place du mi-temps thérapeutique. Un dispositif, ajoutent les responsables associatifs, en outre mal adapté à la problématique de la séropositivité. »

Son assouplissement est nécessaire, reconnaît de son côté Pascale Thézelais, chef-adjoint de la division sida à la DGS, «  en permettant, par exemple, que le temps partiel thérapeutique puisse être utilisé à titre préventif et non pas seulement après arrêt pour

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