ASH : Qu'est-ce qui vous a amenée à la tête de la FNARS ? A. de la B. : Depuis dix ans, je suis présidente d'une association, située à Rennes, qui accueille des femmes victimes de violences conjugales. Il s'agit d'une responsabilité liée à mon activité professionnelle puisque je suis déléguée régionale pour les droits des femmes, en Bretagne. Cette association étant fédérée à la FNARS, je me suis naturellement engagée au sein de celle-ci. J'en ai été la vice-présidente pendant deux ans et je suis encore présidente de la délégation régionale Bretagne. ASH : Comment, selon vous, la FNARS doit-elle évoluer à long terme ? A. de la B. : Il faut renforcer son évolution actuelle. C'est-à-dire aider les établissements à sortir de l
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