ASH : L'accompagnement socio-éducatif reste-t-il une forme de prise en charge adaptée aux politiques pénales actuelles ? J.-L.F. : Il faut rappeler que CLCJ a été créé en 1982 pour développer l'accompagnement socio-éducatif des personnes laissées en liberté sous contrôle judiciaire (2). Or, depuis 15 ans, nous avons régulièrement démontré l'utilité de cette forme d'accompagnement pour prévenir la récidive. D'ailleurs, l'activité de nos associations est stable avec 10 000 nouvelles mesures par an. Et nous continuons à développer des réponses. Ainsi, depuis deux ans, la justice nous confie des jeunes et plusieurs expériences sont en
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