ASH : La Coorace a traversé un certain nombre de difficultés... J.-R.M. : Oui, des difficultés de deux ordres. Elles tiennent, d'une part, aux déficits de 1995-1996 liés aux activités nouvelles mises en place en matière de services aux particuliers et d'interim d'insertion ce qui nous a conduits, depuis l'assemblée générale de juin 1996, à engager tout un travail de clarification de nos stratégies de développement. Et, d'autre part, elles sont dues à la crise d'identité des associations intermédiaires. Je crois que, depuis l'origine, leur positionnement est basé sur un compromis dont est issu le texte qui les régit, résultat de deux volontés : l'une, fortement affirmée en 1986-1987 par le gouvernement, axée sur l'exploration d'activités nouvelles sur des créneaux marchands, peu solvabilisés,
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