Premier constat : les équipes d'encadrement sont souvent « modestes », quand elles ne sont pas « réduites à peau de chagrin » pour certaines d'entre elles. Hétéroclites par la force des choses, ce qui en fait à la fois leur richesse et leur faiblesse, elles peuvent rassembler des techniciens professionnels, des personnes en cours ou en fin de parcours d'insertion, des bénévoles, « des vieux routards de l'insertion par l'économique ». Seul un petit nombre de structures ont recours à un travailleur social, et encore seulement à mi-temps, pour assurer l'accompagnement social et construire un projet d'
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