D'entrée de jeu, le groupe national présidé par Hélène Strohl, inspecteur général des affaires sociales (2), précise qu'il n'a pas cherché à présenter « un point de vue consensuel » mais une « position originale argumentée prenant en compte les différents points de vue ». C'est ainsi que sur quelques aspects, il fait état de certaines divergences, manifestées notamment par les représentants des ministères de la Justice et de l'Intérieur. D'ailleurs, ajoute-t-il, l'évaluation fait une large part à « l'opinion des acteurs », d'autant que l'épidémiologie de la maladie mentale est « indigente ». En outre, s'il n'y a actuellement aucune enquête permettant d'aborder la pathologie d'un malade, son environnement et le type de prise en charge dont il
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