ASH : Pourquoi avoir créé ce groupe de travail composé d'éducateurs d'internat ? F.S. : Pour deux raisons. D'une part, lorsqu'on parle de maltraitance, on entend rarement les éducateurs d'internat. Ils ont pourtant des choses à dire sur cette question car, au quotidien, ils sont souvent confrontés à la prise en charge d'enfants maltraités. D'autre part, il est généralement assez difficile d'échanger en dehors de sa filière de travail. Or, l'une des originalités du groupe consiste à réunir des éducateurs travaillant dans des secteurs différents : établissements à caractère social et instituts médico-éducatifs ou IMPro. ASH : Mais pourquoi réfléchir au repérage de la maltraitance alors que celui-ci se fait, normalement, en amont de l'internat, avant le placement ? F.S. : Justement non. Pas tou
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?