ASH : Cette circulaire répond-elle à vos attentes ? P.G. : Oui, notamment sur deux points. Premièrement sur la forme, la direction de l'action sociale a mis en place un travail de concertation de qualité avec les associations, les gens de terrain, l'administration. Deuxièmement, elle a eu le courage de traiter un sujet qui n'est pas toujours abordé et bien abordé. Et qui reste encore trop souvent l'objet de langue de bois ou de silence gêné. ASH : Quelle est la situation actuelle de la prévention de l'infection à VIH dans les établissements accueillant des handicapés mentaux ? P.G. : On ne peut pas faire de réponse globale. Il y a deux éléments qui, avant cette circulaire, ont beaucoup fait progresser les choses. D'abord, le document de l'Unape
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