« Face aux atteintes aux droits de l'Homme dont nous sommes les témoins dans les domaines du logement, des papiers, du travail, nous avons le devoir de nous indigner et de dénoncer l'inacceptable. » C'est un cri du cœur qu'a lancé Christine Garcette, vice-présidente de l'Association nationale des assistants de service social (ANAS) (1), aux professionnels réunis en congrès national, fin novembre, à Metz (2). « J'ai parfois l'impression, a-t-elle poursuivi, que nous avons tellement entériné le devoi r de taire ce qui nous a été confié que nous oublions celui de parler, [...] de faire remonter auprès des institutions et des pouvoirs publics la nécessité d'intervenir de façon collective pour améliorer le quotidien de tous.[...] En tant que travailleurs sociaux, nous sommes en première ligne pour constater et pour lutter contre tous ces manquements aux droit
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