ASH : A 75 ans, quelle est la plus grande satisfaction de la FNATH ? M.R. : D'être aujourd'hui, avec 300 000 adhérents, la plus importante association représentative des personnes accidentées et handicapées en France, d'être écoutée et entendue dans nos propositions, et de participer d'une certaine manière, depuis maintenant plus de trois quarts de siècle, à l'évolution de la solidarité dans ce pays. Notre principal regret étant que cela n'aille pas assez vite. ASH : Vous avez proposé la création d'un observatoire national des risques professionnels. De quoi s'agit-il ? M.R. : On a vu, encore une fois, dans l'affaire de l'amiante, que ce sont les intérêts économiques des industriels qui l'ont emporté sur la santé et la vie des populations. Aussi, ce que nous souhaitons, c'est qu'un observatoire indépendant des
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