Cela pourrait sembler un thème ancien et usé. Depuis deux décennies au moins, la notion de participation des habitants aux décisions concernant leur habitat et leur environnement figure en bonne place dans la réflexion menée autour de la gestion urbaine des zones sensibles. La piste n'est pas nouvelle, certes, mais elle est en plein renouvellement. « La relation des habitants et des acteurs institutionnels doit être considérée comme un fil conducteur pour accomplir de nouveaux progrès dans les quartiers et à partir des quartiers », notait ainsi Georges Mercadal, délégué général de l'Union des fédérations d'organismes d'HLM (Unfohlm), à l'occasion de la première rencontre nationale du GIE villes et quartiers (1). Ce GIE, créé le 11 avril 1996 par la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et l'Unfohlm pour « apporter son soutien financier à des projets pr�
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