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L'ONPES s'inquiète des effets de la crise sur les plus vulnérables

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Alors que le taux de pauvreté monétaire est resté stable au cours de la dernière décennie, l'Union européenne en général, et la France en particulier, ont "pris conscience du développement de la pauvreté en emploi, ainsi que des difficultés et des inégalités d’accès à certains droits fondamentaux", mais sans parvenir à y remédier, a déclaré jeudi 25 février la présidente de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (ONPES), Agnès de Fleurieu, à l'occasion de la remise de son rapport 2009-2010, le dernier publié sous son mandat.Ce dernier arrive en effet au terme de ses cinq ans, la nomination du successeur d'Agnès de Fleurieu, l'universitaire Julien Damon, devant d'ailleurs être publiée d'un jour à l'autre au Journal officiel.
Persistance de la grande exclusion
"La persistance de la grande exclusion reste tout à fait préoccupante", selon la présidente sur le départ, et "la dégradation du marché du travail, en touchant les personnes qui étaient déjà les plus vulnérables, engendre un risque d'irréversibilité du chômage et de la pauvreté", s'est-elle aussi inquiétée, en dévoilant - en présence du Haut Commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, Martin…
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