Sur le papier, c’est gagné. Après la grande mobilisation du 18 juin qui a vu plusieurs milliers d’entre eux cesser le travail à l’appel de la CFDT et de l’Unsa, les quelque 260 000 salariés de la branche de l’hospitalisation privée (qui chapeaute établissements hospitaliers, Ehpad et instituts de thermalisme à caractère lucratif) devraient pouvoir bénéficier de « l’avenant 33 ». Une nouvelle grille des classifications et des rémunérations techniquement entrée en vigueur en février 2023. Laquelle prévoit notamment l’intégration aux salaires des 206 € brut mensuels au titre du Ségur de la santé, un relèvement des plus bas niveaux de rémunération au-dessus du Smic et la mise en place d’un nouveau système d’évolution de carrières tenant davantage compte des compétences et de l’ancienneté.
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