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Stop ou encore

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Certains héritent de maisons, Sandra Pinel, elle, a hérité très jeune de l’alcoolisation de son père. « Je n’avais pas de bouton “stop”. Je consommais jusqu’à en être malade », confie-t-elle. Et comme l’alcool ne suffisait pas pour se détruire, elle a ajouté le cannabis, les médicaments et les drogues de synthèse achetées sur Internet. Une histoire de poly­addiction qui a duré 25 ans jusqu’au jour où cette infirmière a décidé de se sauver. Outre la valeur du témoignage, son livre constitue un outil précieux pour les travailleurs sociaux qui se sentent souvent impuissants face à des personnes dépendantes. Ni blabla, ni morale, l’autrice, désormais diplômée en addictologie, parle de ce qu’elle connaît, donne des conseils qu’elle a expérimentés. A consommer sans modération.« Journal d’une polyaddict libérée », Sandra Pinel, éd. Eyrolles, 17 €.
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