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« S’entendre sur les mots pour s’accorder sur les maux ! »

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La vocation… Elle est sur toutes les lèvres, dans tous les rapports sur le travail social. Pour Katy Lemoigne, directrice générale de l’association Chanteclair, l’emploi de ce terme est loin d’être anodin et amène à « emprunter le chemin du bénévolat ».
Les mots ont un sens et ne sont jamais le fruit d’un choix aléatoire. Jusque-là, rien de bien original. C’est même plutôt enfoncer une porte ouverte, me direz-vous… Cependant, le rappel est ici utile si nous souhaitons prendre conscience aujourd’hui du champ lexical qui colore le travail social et s’égrène inlassablement au fil des échanges comme une douce berceuse, là où la force du propos doit nous tenir éveillés à la question sociale.Le travail social traverse une crise inédite, marasmatique (néologisme). Vous pouvez y voir de l’excès : « Tu exagères. C’est difficile, c’est sûr… Mais n’oublie pas que tu fais un métier de vocation. » « C’est vrai que c’est compliqué, d’ailleurs je ne sais pas comment tu fais. Moi, je ne ferais pas ton métier. » Ces phrases sibyllines, qui, de prime abord, peuvent flatter l’égo du travailleur social sur cette capacité professionnelle à traiter du singulier de…
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