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« La toute-puissance de l’impuissance »

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A l’heure de #MeToo, les auteurs de violences de couple sont-ils rattrapés par des comportements hérités du patriarcat et d’une socialisation indifférenciée des garçons et des filles ? C’est l’hypothèse posée par des chercheurs de l’université de Bordeaux qui montrent que les violences de genre sont aussi liées à des masculinités vulnérables.
Sociologue à l’université de Bordeaux, Eric Macé a dirigé pendant trois ans une enquête pluridisciplinaire, intitulée « Les dimensions genrées des violences contre les partenaires intimes : comprendre le sens des actes et le sens de la peine pour les auteurs afin de mieux prévenir et réduire ces violences » dont les résultats ont été présentés en avant-première à Paris, lors d’un colloque organisé les 18 et 19 octobre par la fédération Justice & Citoyens en partenariat avec les ASH.Qu’est-ce qui a motivé la recherche Genvipart et quelle a été l’hypothèse de départ ?En 2019, bien avant le Grenelle sur les violences faites aux femmes, je remarque le contraste entre la répétitivité de ces violences dans les faits divers de la presse régionale et un angle mort dans leur traitement médiatique, institutionnel…
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