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Pas de recette miracleLa violence peut être induite implicitement par l’état d’esprit du personnel. Fatigue, mauvaise humeur et anxiété semblent être autant de facteurs favorisants, tout comme la façon de gérer les refus. Plus on insiste, plus on risque de renforcer le blocage. Il est alors souhaitable de laisser passer du temps et de faire intervenir quelqu’un d’autre, avec des préliminaires différents. Mais il n’y a pas de recette pour gérer une crise, même si les pratiques de contre-affolement peuvent se révéler utiles. Elles relèvent autant d’une formation que de l’improvisation opportune. Je raconte toujours comment, dans une salle à manger, une vieille dame en furie s’est calmée parce que le médecin a simulé une grosse colère et cassé trois assiettes : « Il devient fou, le docteur ! »Louis Ploton, psychiatre et professeur émérite de gérontologie à l’université de Lyon 2.L’oiseau de mauvais augureComme la plupart d’entre nous, j’ai déjà été confronté à une situation de violence de la part d’un usager. L’assistant social peut d’ailleurs la provoquer indirectement. Etant les représentants de l’institution dans laquelle nous travaillons, mais également les personnes de confiance,…
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