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« Les CHRS ont encore un rôle à jouer »

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Le droit au logement peut-il devenir une contrainte pour les publics « désaccordés » ? Pour Cédric Sadin-Cesbron, formateur, il faut apporter des réponses nuancées à un problème complexe. Et si brûler les CHRS n’est plus à l’ordre du jour, les pistes ne manquent pas pour les réformer.
Educateur spécialisé de formation, Cédric Sadin-Cesbron s’est intéressé à la vie en centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS), oscillant entre hospitalité et coercition. Nuançant la politique du Logement d’abord, il invite à réinvestir ces établissements pour mieux prendre en compte la diversité des publics.Vous avez étudié la vie en CHRS à l’heure du Logement d’abord. Quels constats dressez-vous ?Lorsque j’ai débuté une recherche dans le cadre d’un master 2, j’étais éducateur au CHRS Riboud, devenu Bell’Aub, à Lyon. Militant du Logement d’abord, je considérais que l’approche collective et « en escalier » n’était pas bonne, rejoignant d’une certaine manière le principe de « désinstitutionnalisation », qui suggère de fermer les établissements spécialisés. Au terme de mon travail, je suis parvenu à la conclusion que les CHRS avaient encore un rôle à…
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