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Un cadre trop contraint

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Depuis la loi 2002-2 rénovant l’action sociale et médico-sociale, la culture du projet a donné un grand coup de pied dans la fourmilière des établissements. Pour le meilleur : être au plus près des besoins et des attentes des usagers. Mais aussi pour le pire, lorsque cette logique encourage un certain individualisme ou cherche à faire entrer les personnes vulnérables dans un moule.
Projet individuel ou personnalisé, projet d’établissement et de service, plan d’accompagnement personnalisé, projet d’accueil personnalisé (PAP), plan personnalisé de compensation, projet de vie, projet individualisé d’accompagnement (PIA) ou projet personnalisé d’accompagnement (PPA) pour les enfants et les adolescents… Depuis une vingtaine d’années, acronymes et documents techniques fleurissent pour soutenir un nouveau paradigme devenu l’alpha et l’oméga du travail social : la logique de projet.Impulsée par la loi de rénovation du 2 janvier 2002 et complétée par celle de 2005 sur les droits des personnes en situation de handicap, cette logique est venue bousculer les établissements médico-sociaux et leur tendance à faire « à la place » des usagers. Il s’agit désormais…
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