TRIBUNE - La mise en œuvre de la réforme de l’évaluation des établissements sociaux et médico-sociaux entraîne des dépenses supplémentaires qui impactent l’action des structures. Avec pour première conséquence, selon l’Uniopss, la dégradation de l’accompagnement des publics.
« À la suite de l’entrée en vigueur de la réforme de l’évaluation des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS) portée par la Haute Autorité de Santé (HAS), 28 associations, fédérations et unions des solidarités coordonnées par l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux) ont alerté, en février dernier, la Première ministre et le ministre des Solidarités sur le besoin urgent de compenser les surcoûts liés aux nouvelles modalités d’évaluation. Impliquée depuis la loi du 24 juillet…
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