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Des syndicats féminins catholiques au service social

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En 1901, deux jeunes femmes, André­e Butillard et Aimée Novo, suivaient les « cours féminins » de l’Institut catholique de Lyon. C’est là qu’elles assistèrent à une conférence de Marie-Louise Rochebillard sur les syndicats féminins que celle-ci avait fondés en 1899. Dans la foulée, elles vont s’engager dans le soutien aux syndicats féminins catholiques. En 1904, elles fondent un groupe de laïques consacrées, lié à l’ordre des jésuites, qui sera reconnu en 1917 comme congrégation Notre-Dame du Travail. Après avoir milité à Marseille puis à Voiron (Isère), elles s’installent en 1909 dans le XIVe arrondissement de Paris, où plusieurs activités sociales et médico-sociales seront menées. En organisant des permanences et des cours à leur domicile, elles ont pu toucher de nombreuses ouvrières. Leur activité a débouché sur la création d’un syndicat des ouvrières à domicile, dont le premier congrès s’est tenu en juin 1911.Cette même année, à Saint-Etienne, se déroulait la huitième session des Semaines sociales, à laquelle les deux pionnières ont participé. Le travail féminin y fut largement abordé, et la session se termina par l’idée de créer une école sociale féminine. L’Ecole normale sociale…
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