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L’action sociale pénalisée par une décentralisation inaboutie

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Dans son rapport annuel, la Cour des comptes considère que la mise en œuvre des politiques sociales au niveau local manque d’un pilotage d’ensemble. Les outils d’évaluation mériteraient également d’être harmonisés.Confier les clés des politiques sociales à chaque département tout en assurant une homogénéité entre les territoires, voilà en résumé tout l’enjeu de la décentralisation des actions mises en place au profit des personnes vulnérables. Concourant aussi bien à la protection de l’enfance, au revenu de solidarité active et aux aides aux personnes en situation de handicap et aux personnes âgées, elles mobilisent environ 10 % des dépenses consacrées à la protection sociale.La Cour des comptes s’est justement intéressée à cette décentralisation des politiques sociales, dans une partie de son rapport annuel rendu public vendredi 10 mars 2023. Ses propositions se résument en trois points. D’abord, elle appelle à une réforme du dispositif de financement des allocations individuelles de solidarité. L’idée : instaurer une dotation d’action sociale, répartie en fonction des dépenses constatées, d’objectifs contractuels, et d’une cible de dépenses restant à la charge des départements sur…
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