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« La parole des personnes est peu prise en compte »

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Chercheur en sciences politiques et consultant sur des missions d’évaluation des politiques publiques, Louis Bourgois estime que, malgré les différences de statuts entre populations intra et extra-européennes vivant en habitat précaire, un socle commun d’accès aux droits doit être envisagé.
Dans quel contexte l’instruction de 2018 sur la résorption des bidonvilles a-t-elle vu le jour ?Les premières circulaires sur ce que l’on appelait alors des « campements illicites » datent de 2010, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, et étaient principalement axées sur le volet sécuritaire. Elles ont été remplacées par une circulaire de 2012, après l’élection de François Hollande, qui a mis en avant les situations des personnes en instaurant la réalisation de diagnostics sociaux pour envisager des suivis en termes d’accès à l’emploi, aux soins, à la scolarisation, et en identifiant tous les acteurs concernés. Progressivement, cette circulaire a commencé à porter ses fruits sur les territoires, accompagnée des financements de la Dihal [délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement]. L’année 2014 a aussi marqué la fin des mesures…
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