Cette édition des ASH a quelque chose de spécial : c’est la première fois que notre titre confie à ses lecteurs la rédaction d’un grand nombre de pages. Beaucoup de professionnels ont répondu à notre appel à contributions, et il nous a fallu faire des choix, écarter parfois des textes soit parce qu’ils étaient trop abstraits même si agréablement littéraires, soit parce que l’intention demeurait vague, ou encore parce que tel ou tel cas précis aurait requis un travail journalistique qui aurait dénaturé l’écrit. Quoiqu’il en soit, merci à tous ceux qui nous ont envoyé leur prose, ils ont nourri notre réflexion.Le thème proposé a lui aussi quelque chose de spécial. Car le secret revêt diverses parures, plus ou moins choisies. Dans l’action sociale et médico-sociale, où la relation et le dialogue représentent des outils de travail, une confidence est vite arrivée. Comment l’accueillir, comment l’appréhender ? Faut-il garder le secret ou le lever ? Et, le cas échéant, comment ? Peut-on se laisser imposer un secret et, sinon, comment le contourner ?Le sujet est vaste, et il eût été vain de tenter de le traiter de manière exhaustive. En effet, selon le champ d’exercice des métiers, les enjeux…
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