Recevoir la newsletter

Il faut des bénévoles, et que chacun trouve sa place

Article réservé aux abonnés

En s’intéressant de près au quotidien d’une dizaine d’associations et de collectifs bénévoles à l’origine de maraudes en Ile-de-France, Erwin Flaureau a mis au jour un éventail de pratiques où s’opposent des manières différentes de concevoir la relation d’aide. Une réalité qui n’est pas toujours vue d’un bon œil par les professionnels.
Qu’avez-vous observé lors de votre immersion dans les maraudes ?J’ai été frappé de découvrir que, derrière l’image relativement homogène de cette forme d’intervention sociale, se cachent en réalité des manières très différentes de concevoir la relation d’aide avec les sans-abri. Certains vont, par exemple, distribuer des denrées matérielles (couvertures, vêtements, kits d’hygiène, alimentation). D’autres, délestés de tout objet, vont à la rencontre des gens de la rue dans l’unique but de tisser un lien social. Mais le plus marquant est le lien que l’on peut établir entre ce panorama des pratiques et les positions qu’occupent les bénévoles dans l’espace social. J’ai ainsi pu dégager deux grands pôles de maraudes, entre lesquels se dessine un continuum de pratiques. D’un côté, les maraudes constituées de bénévoles…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

L’événement

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur