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« Les plus engagés inventent le travail social de demain »

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Le sociologue Nicolas Brusadelli défend l’idée que l’éducation populaire n’a jamais cessé d’être politique, au sens citoyen du terme. A ses yeux, ce cadre militant représente le creuset d’un renouvellement des pratiques professionnelles du secteur face à un management néolibéral.
Quelles sont les principales transformations subies ou voulues par l’éducation populaire ?Alors qu’elle était un espace militant pur jusque dans les années 1960, elle a progressivement généré des politiques publiques et un métier, celui de l’animation. Les organisations d’éducation populaire sont alors devenues un véritable marché professionnel. Une autre transformation, plus récente, tient au mode de régulation de l’action publique. En contribuant à construire la République, pendant l’âge d’or de ces organi­sations jusque dans les années 1990, elles ont été parmi les associations les plus financées de France, les plus subventionnées, parce que reconnues d’intérêt général – à l’instar de la Ligue de l’enseignement, l’institution la plus puissante et la plus ancienne. Mais le néolibéralisme a modifié les formes d’action de l’Etat et toutes ces organisations sont poussées…
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