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Des établissements pris en étau

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La crise sanitaire et le conflit ukrainien font payer un lourd tribut au secteur social et médico-social. L’inflation et l’augmentation du coût des énergies menacent fortement l’équilibre budgétaire de nombreuses structures déjà fragilisées. Le déploiement de nouvelles mesures s’impose face au risque de la fermeture de services.
La période est au chiffrage. Rendue publique début octobre, une enquête menée auprès des adhérents de l’Unhaj (Union nationale pour l’habitat des jeunes) indique que 81 % d’entre eux connaîtront un déficit de plus de 10 % dès lors que le coût de l’énergie augmentera de 300 %. « Il y a un enjeu de survie. Nous avons rencontré Olivier Klein, ministre délégué chargé du logement, pour alerter. Il y a un an, 16 % des structures connaissaient un déficit supérieur à 10 %. La situation économique de certaines les empêche de trouver des fournisseurs », dénonce Marianne Auffret, directrice générale de l’Unhaj.Face au contexte inflationniste et à l’augmentation du coût des fluides (gaz et électricité), les structures sociales et médico-sociales envisagent un funeste avenir budgétaire, marqué par de nombreuses incertitudes pour…
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