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« Les objectifs conférés au sport sont parfois surestimés »

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Selon le sociologue François Le Yondre, l’utilisation du sport dans le cadre d’une démarche d’insertion sociale ou professionnelle est d’abord politique. Si cette réponse peut s’avérer utile aux personnes vulnérables, elle ne doit pas servir de pis-aller au traitement du chômage, du logement, de la pauvreté, des violences et des migrations.
Comment définissez-vous l’insertion par le sport ?C’est un domaine très vaste qui regroupe l’ensemble des pratiques consistant à utiliser le sport dans une perspective d’accompagnement social. En réalité, il ne faudrait d’ailleurs pas parler d’insertion par le sport car cette formule est « concurrencée » par d’autres : intégration par le sport, inclusion sociale par le sport, etc. Or les intentions politiques ne sont pas les mêmes selon les termes employés. Au sein du master « Développement, intégration, socialisation et culture », que je coordonne à l’université de Rennes, nous préférons parler de « socio-sport », appellation à la portée plus globale qui renvoie à tous les usages du sport à vocation d’accompagnement social et éducatif. Mais cette dénomination ne vaut que pour la France, les Anglo-Saxons…
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