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Des parents sous surveillance

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Le tabou de la parentalité des personnes déficientes intellectuelles ou souffrant de troubles psychiques se lève peu à peu depuis une vingtaine d’années. Si des structures d’accompagnement émergent pour appuyer leurs compétences, le suivi par la protection de l’enfance est parfois nécessaire pour compenser leurs difficultés.
Dangereux, incurables, irresponsables et incapables. Ces quatre grands préjugés ont longtemps entravé la possibilité pour les personnes en situation de handicap mental de devenir parents. Une présomption d’incompétence portée par leur entourage, les professionnels et la société tout entière, voire un rejet brutal – pour des adultes déficients intellectuels ou souffrant de troubles psychiques – de l’idée même d’un désir d’enfant. Si la réalité de cette parentalité reste tributaire de la gravité du handicap, les obstacles à sa concrétisation commencent à perdre du terrain. En partie, grâce aux représentations moins normées de la « famille idéale » et au mouvement de fond de l’inclusion. Mais surtout en vertu de la loi de 2005 pour l’égalité des chances, la participation et la citoyenneté. Un texte décisif en termes de droit…
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