Recevoir la newsletter

« C’est par la qualité qu’on imposera le baluchonnage »

Article réservé aux abonnés

Selon Marie-Pascale Mongaux-Masse, le baluchonnage est un modèle plus protecteur que le relayage. Elle milite pour qu’il s’impose en France, comme c’est le cas au Québec depuis deux décennies. Reste à lever les deux freins majeurs : la solvabilité de cette nouvelle offre de répit et la sécurisation des salariés.
Deux ans après le lancement de l’expérimentation, peu de relayages ont été réalisés. Pourquoi ?Le faible nombre de relayages est lié au contexte sanitaire et aux problématiques financières. En aucun cas aux besoins des personnes. On constate d’ailleurs de plus en plus de demandes de répit chez les aidants depuis la fin des confinements. Que ce soit dans le domaine du handicap ou pour les personnes âgées. Tout l’enjeu pour Baluchon France est de mobiliser les politiques pour pouvoir proposer un répit de longue durée avec des moyens pérennes. Pendant plusieurs mois, nous avons réussi à convaincre certaines caisses de retraite qui ont financé plusieurs jours de baluchonnage. C’est une première victoire. Nous espérons que la promesse du président de la République – qui a annoncé en mars dernier 15 jours de répit gratuit aux aidants – prendra…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

L’événement

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur