Recevoir la newsletter

« La surpopulation pourrit les rapports entre détenus et avec les surveillants »

Article réservé aux abonnés

Devenue en octobre 2020 contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Dominique Simonnot, ancienne journaliste spécialisée dans les affaires judiciaires, dénonce depuis sa prise de poste le problème de la surpopulation carcérale dans les maisons d’arrêts.
Pouvez-vous présenter le contrôleur général des lieux de privation de libertés (CGLPL) ? Quel est son rôle ?Le CGLPL est une autorité administrative indépendante créée en 2008. Son rôle est de contrôler les conditions de prise en charge des personnes privées de libertés et de s’assurer du respect de leurs droits fondamentaux. Il peut être saisi par des détenus ou leurs proches, des avocats, des associations. Notre pôle « saisine » reçoit 3 700 lettres par an et de très nombreux appels. Quand on a beaucoup de signalements sur le même endroit, on va visiter. Nous allons aussi dans toutes les maisons d’arrêt surpeuplées.Sur place, en équipe de 10 à 20 personnes selon les lieux, nous visitons tout et rencontrons tout le monde : les détenus, avec qui on discute longuement, les équipes, la direction, etc. Nous ne prévenons pas de notre venue. Généralement, on est bien reçus, le personnel…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

L’événement

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur