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« Des destins loin des images préconçues »

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Davantage invisibilisées que leurs homologues masculins, en proie à de nombreuses idées reçues, les femmes immigrées vieillissent très souvent seules. Dans son travail de thèse, Julie Leblanc cherche à mettre en lumière leur parcours, ainsi que les tenants et les aboutissants de ce passage sous silence.
Pourquoi vous êtes-vous intéressée à ce sujet de thèse ?Je suis infirmière de métier et je me suis dirigée vers l’anthropologie en cours de carrière. A ce moment-là, je voulais monter un centre de santé associatif au sein du territoire des Minguettes, à Vénissieux, dans la banlieue lyonnaise. Je me disais que le public immigré âgé pourrait être un public cible. Finalement, le centre a ouvert à un autre endroit, et moi, je suis restée aux Minguettes pour ma recherche. En creusant ce sujet du vieillissement et de l’immigration, je me suis assez vite rendu compte qu’il y avait des écrits sur les hommes, notamment ceux vieillissant dans les foyers Sonacotra – c’est d’ailleurs par ce biais que cette question a émergé dans les sciences sociales – mais très peu de travaux sur les femmes. Cela m’a interpellée. Lorsque j’arrivais avec des questions sur…
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