Concilier les besoins des personnes accompagnées et les différentes contraintes architecturales n’est pas toujours évident. Architecte, Alice de Cagny revient sur les différentes étapes de ce cheminement.
De quelle manière les échanges entre votre cabinet et les directeurs de structures se déroulent-ils ?Au sein de l’agence, nous fonctionnons suivant trois possibilités. Soit il s’agit d’un accord de gré à gré avec des clients que nous connaissons déjà, soit nous répondons à un appel à projet lancé par l’ARS [agence régionale de santé], soit nous participons à un concours, auquel cas nous n’avons pas forcément de lien avec le client et allons travailler dans notre coin en répondant à un cahier des charges. Dans les deux premiers cas de figure – qui représentent la majorité de nos projets –, nous répondons à leur cahier des charges, c’est-à-dire leurs besoins en matière de fonctionnalité, de capacité financière, etc.Comment appréhendez-vous les besoins des personnes accompagnées et des professionnels ?Très souvent, nous visitons les locaux existants. A défaut, nous allons nous rendre compte dans un établissement déjà en fonctionnement et géré…
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