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« Beaucoup d’idées reçues perdurent chez les professionnels »

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Pour la psychologue et sociologue Catherine Sellenet, le placement d’un enfant protégé chez un « tiers digne de confiance » s’inscrit dans une solidarité familiale. Ce que certains professionnels ont encore du mal à appréhender.
Quel est le parcours des enfants placés chez des proches ?On trouve dans les histoires de ces familles les situations les plus lourdes de la protection de l’enfance. Des parents souffrant de troubles mentaux, d’addictions, dans l’errance, la grande précarité, l’incapacité à prendre en charge les besoins de leur enfant, la négligence grave mais sans maltraitance intentionnelle. Les enfants vivent déjà dans des contextes tellement insécurisants, avec des manques affectifs et alimentaires si importants que la place est, en quelque sorte, déjà vacante. Très souvent, dès les premiers mois, c’est un membre de la famille qui s’occupe de l’enfant, en général la grand-mère. Puis, pour une raison ou pour une autre, le parent le récupère davantage. Survient une crise majeure entre parent et enfant, et la situation parvient au juge. On quitte alors l’arrangement familial pour un placement chez le proche, qui demande à être désigné…
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