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C’est une vieille rengaine des discours xénophobes de l’extrême droite française comme européenne : « Si les migrants sont si pauvres que cela, pourquoi alors ont-ils des smartphones ? » Cela ressemble à la polémique tout aussi nauséabonde des écrans plats et de l’allocation de rentrée scolaire. Aujourd’hui, que nous soyons français, anglais, somalien ou irakien, tous nous possédons un téléphone portable. En 2020, près de 5,19 milliards d’êtres humains ont utilisé cet outil pour parler, rire, pleurer, se donner des nouvelles, se quitter ou se retrouver. Alors à Calais comme ailleurs, sur les campements, le téléphone est devenu un bien quasi vital pour les personnes exilées.Cette nécessité de communiquer avec ses proches, sa famille, les secours ou les associations, le Refugee Info Bus l’a bien comprise. Depuis 2016 et l’évacuation du bidonville de la « Jungle » de Calais, les bénévoles passent presque quotidiennement sur les lieux de vie avec une tonnelle, des caisses de chargeurs de téléphones mobiles et deux bruyants générateurs pour fournir de l’électricité, de l’information, des cartes SIM, du crédit téléphonique et un point wifi pendant quelques heures.A Coquelles, un jeune Libérien…
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Une saison en migrations

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