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Lutter contre l’inégalité des chances des jeunes majeurs vulnérables

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Avant de rendre un avis sur le projet de loi de finances 2022, la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale a reçu les associations le 30 septembre sur le thème de la protection des jeunes majeurs vulnérables. Auditionnée de nouveau sur le parcours de ceux qui sont sortis de l’aide sociale à l’enfance, la Fédération Anef partage ici le point de vue de ses praticiens sur cet enjeu de société.
« Certains des jeunes qui atteignent la majorité légale sont condamnés à une minorité sociale. Le seuil administratif des 18 ans est perçu comme une violence par beaucoup de jeunes “vulnérables”, c’est-à-dire sans soutien familial et rencontrant des difficultés personnelles. L’arrêt automatique de la protection de l’enfance est une échéance brutale qui cause beaucoup d’échecs. La raison en est que, dans la catégorie des 18-25 ans, l’aide aux jeunes majeurs n’est accessible que sous conditions, comme une exception individuelle au droit commun. Nous pensons que la majorité à 18 ans est une illusion pour les personnes vulnérables. Pour les jeunes sortants de l’aide sociale à l’enfance (ASE) ou considérés comme “invisibles”, ni en études, ni…
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