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Concrétiser le droit au répit

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Plus personne n’ignore leur rôle. Mieux, on chiffre désormais les économies qu’ils permettent de réaliser sur les dépenses sociales : entre 0,6 et 0,8 % du PIB. Eux, ce sont les 11 millions de personnes (un Français sur six) qui aident un proche en manque ou perte d’autonomie en raison de l’âge ou d’un handicap. L’intervention de ces parents, enfants, conjoints, frères, sœurs – des femmes, le plus souvent – devient toujours plus cruciale, à mesure que la population vieillit, que l’on veut favoriser la vie à domicile et que le fameux « virage inclusif » limite toujours davantage le nombre de places disponibles dans des établissements pour personnes handicapées, dont certaines très lourdement.Des initiatives sont imaginées afin d’offrir des temps de répit aux aidants, plus rarement aux aidés, en particulier des accueils temporaires de jour. Régulière­ment, les pouvoirs publics annoncent des mesures. Comme, en 2020, un financement à hauteur de 105 millions d’euros pour multiplier par deux le soutien aux accueils provisoires (page 8). Un geste apprécié, mais loin de répondre aux innombrables besoins, de régler les inégalités territoriales en matière d’accès à des places de ce type, et…
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