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Le médico-social davantage fragilisé

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La catastrophe n’a pas eu lieu. L’obligation vaccinale imposée aux soignants à compter du 15 septembre n’a engendré ni démissions massives, ni pléthores de suspensions de contrats. A la date fatidique, neuf soignants sur dix s’étaient conformés, au moins pour la première dose, à l’injonction.Mais, sur le terrain, les professionnels, directeurs de structure comme personnels au contact des publics accompagnés, affrontent des réalités plus complexes que ne le laissent entrevoir des colonnes de chiffres égrenées en guise de satisfecit par Santé publique France, le Premier ministre ou celui des Solidarités et de la Santé. D’abord, parce que cette obligation vaccinale fragilise un secteur déjà en forte tension sur le plan des ressources humaines. Dès lors, une seule suspension ou démission au sein d’un service peut engendrer de graves difficultés, et une surcharge de travail pour les professionnels en poste. Certains responsables envisagent même de fermer des unités pour garantir un accueil adapté à leurs publics (page 8). Mais aussi, autre problème, parce que ces bons résultats chiffrés masquent des inégalités territoriales énormes. Entre régions de la métropole et, plus encore, entre métropole…
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