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« L’intégrisme de la normalité n’efface pas les besoins particuliers »

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Les plateformes de services sont censées incarner le tournant inclusif de la politique du handicap. Très critique, Gérard Zribi, ancien conseiller ministériel, estime qu’elles ne tiennent pas compte de la multiplicité des handicaps et que les établissements spécialisés restent essentiels pour apporter des réponses adaptées.
Que vont apporter les plateformes de services dans le secteur médico-social et, particulièrement, dans le domaine du handicap ?Elles s’inscrivent dans la philosophie globale du rapport « Piveteau » de 2014, intitulé « Zéro sans solution », que l’on pourrait résumer ainsi : « pas de places mais des solutions ». L’idée s’avère très attirante mais ne veut rien dire du tout. Il est impossible de généraliser les besoins et les réponses à mettre en place pour des enfants, des jeunes et des adultes handicapés. Quand il n’y aura pas de solutions pour la personne, on bâtira un plan d’accompagnement et on proposera des réponses modulaires, partielles, de bric et de broc. On lui trouvera trois heures dans une institution, quatre dans un accueil en foyer de jour, deux ou trois séances chez le kinésithérapeute libéral et, le reste du…
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