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Réseaux sociaux : « La culture de la dénonciation se généralise » (Samuel Laurent)

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Samuel Laurent

Samuel Laurent, journaliste au Monde, responsable des Décodeurs.

Crédit photo Photo : Philippe Quaisse / Pasco
Après avoir passé des années sur Twitter pour y décoder et vérifier l’information, le journaliste Samuel Laurent a cessé de s’y exprimer depuis deux ans. Trop d’intox, de violences et d’injures sur cette plateforme qui se veut ouverte au débat public, mais qui ne l’est pas.
Actualités sociales hebdomadaires : Tout le monde peut-il être victime de Twitter comme vous l’avez été ?

Samuel Laurent : Tout le monde, peut-être pas. On est d’autant plus frappé que l’on est un peu connu. Encore que, aujourd’hui, cela arrive à des anonymes. C’est un réseau qui pardonne peu et le phénomène tend à s’aggraver. La culture de la dénonciation, ou « cancel culture », se généralise. Si vous exprimez quelque chose qui déplaît à un groupe constitué, il vous tombe dessus en masse. Avec Twitter, il est très facile de multiplier les attaques, sans forcément se rendre compte…
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