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Un dispositif plébiscité par les acteurs du social

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Parfois accusé de constituer une main-d’œuvre à bas coût, le service civique offre une expérience d’engagement pour tous les jeunes, en particulier les plus défavorisés. Lorsque les missions sont bien définies, il bénéficie autant aux volontaires qu’aux structures.
Il aura fallu une crise sanitaire pour relancer la dynamique entourant le service civique. En annonçant, en juillet 2020, la création de 100 000 missions supplémentaires par an, accompagnée d’une hausse de budget de 360 millions, le gouvernement a porté l’objectif, pour l’année 2021, à quelque 245 000 contrats. A mi-parcours, 50 % d’entre eux avaient été signés. Une ambition réelle mais toute relative si l’on considère les objectifs fixés en 2015. Au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, François Hollande avait promis une montée en charge. Le service civique devait concerner 350 000 jeunes en 2018, soit la moitié d’une classe d’âge, et être généralisé, d’ici 2020, à tous ceux qui le souhaitent. L’idée a été, depuis, enterrée. Pourtant, le succès ne se dément pas, l’Agence du service civique dénombrant encore trois demandes pour une seule offre. « A l’approche de l’élection présidentielle,…
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