Face à la montée en charge du dispositif, Béatrice Angrand, présidente de l’Agence du service civique, entend l’ouvrir à de nouveaux domaines tout en veillant à la qualité des missions proposées.
Quelles sont les priorités de l’agence ?Nous voulons animer la communauté des volontaires pour générer un sentiment d’appartenance. C’est un axe qui a été sous-estimé ces dernières années. Cela pourrait passer par l’organisation de webinaires entre volontaires sur un groupe de travail. Ou encore par la création d’une association d’anciens volontaires. Deuxième point : l’égalité des chances. Nous avons la préoccupation de donner plus à ceux qui ont moins : les personnes en situation de handicap, les décrocheurs ou encore les réfugiés avec notre programme Volont’R. Troisième orientation : valoriser le service civique. On a créé un club de valorisation qui regroupe des entreprises et des associations professionnelles, pour associer le service civique à des compétences et renforcer ainsi sa reconnaissance. Enfin, nous voulons approfondir la logique de parcours, que ce soit avec les fonds européens, Erasmus + et le Corps européen de solidarité, que l’on…
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