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Sans-papiers en grève de la faim en Belgique : la lutte continue

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En cessant de s’alimenter depuis mai, 450 travailleurs étrangers présents en Belgique ont tenté de mobiliser les pouvoirs publics sur leur précarité et leur exploitation. Ils n’ont pour le moment obtenu que des miettes.
Ils sont plusieurs centaines, pour la plupart marocains, tunisiens, égyptiens, pakistanais ou népalais, et occupent depuis le mois de mai l’église Saint-Jean-Baptiste-au-Béguinage, ainsi que les réfectoires des universités libres, francophone et néerlandophone, de Bruxelles. De longues semaines de lutte, de mobilisations, et même de grève de la faim et de la soif, qui ont fait vaciller la coalition gouvernementale au pouvoir en Belgique, sans pour autant régler le problème de fond : parmi les quelque 100 000 sans-papiers présents sur le sol belge, ceux qui parviennent à travailler demeurent corvéables à merci, parfois privés du salaire minimum, de logement, de droits sociaux, d’accès à la santé. Une précarité qui a explosé durant la pandémie de coronavirus.« L’Union des sans-papiers pour la régularisation [USPR] est parvenue à initier un certain nombre de négociations au plus haut niveau », a souligné leur comité de soutien lors…
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